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Évaluationàdistanced’uncoursen
présentielencontextedeCOVID-19
etlesdéfisdel’inégaliténumérique
Remoteevaluationofaface-to-facecourseinthecontextof
COVID-19andthechallengesofdigitalinequality
Laevaluaciónadistanciadeuncursopresencialenelcontexto
deCOVID-19ylosdesafíosdeladesigualdaddigital
https://doi.org/10.52358/mm.vi9.245
Venus Darius, professeur associé
Institut des sciences, des technologies et des études avancées d’Haïti, Haïti
French Institute- Alliance Française of New York, USA
venus.darius@isteah.ht vdarius@fiaf.us
RÉSUMÉ
L’enseignement supérieur en République démocratique du Congo (RDC) fait face à plusieurs
défis, dont la précarité numérique qui complique le fonctionnement des acteurs éducatifs.
Après avoir passé environ un an et demi comme professeur dans une université congolaise,
la pandémie de COVID-19 nous a contraint à quitter le pays. Malgré le manque de ressources
numériques de cette université fonctionnant totalement en présentiel, nous avons pu effectuer
toutes les activités du cours à distance. Au terme de cette étude ethnographique, nous
présentons les limites des adaptations réalisées au regard de l’inégalité numérique observée
parmi les étudiants et qui est un échantillon de l’inégalité sociale qui sévit dans tout le pays.
Mots-clés : inégalité numérique, enseignement supérieur, République démocratique du
Congo, COVID-19
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ABSTRACT
Higher education in the Democratic Republic of Congo (DRC) faces several challenges,
including digital insecurity, which complicates the functioning of educational actors. After
spending about a year and a half as a professor at a Congolese university, the COVID-19
pandemic forced us to leave the country. Despite the lack of digital resources at this university,
which operates completely entirely face-to-face, we were able to complete all the activities of
the course course activities remotely. We deduce, at the end of this ethnographic study, At
the end of this ethnographic study, we conclude that the numerical inequality observed among
the students is a sample of the social inequality that is rampant across the country.
Keywords: digital inequality, higher education, Democratic Republic of Congo, COVID-19
RESUMEN
La educación superior en la República Democrática del Congo (RDC) afronta varios desafíos,
incluida la inseguridad digital que complica el funcionamiento de los actores educativos.
Después de pasar cerca de un año y medio como profesor en una universidad congoleña, la
pandemia de COVID-19 nos obligó a salir del país. A pesar de la falta de recursos digitales
en universidad en cuestión, que opera completamente en formato presencial, pudimos
completar todas las actividades del curso de forma remota. Deducimos, al final de este estudio
etnográfico, que la desigualdad digital observada entre los estudiantes es una muestra de la
desigualdad social que prevalece en todo el país.
Palabras clave: desigualdad digital, educación superior, República Democrática del Congo,
COVID-19
Mise en contexte et éléments de problématique
L’avènement de la pandémie de COVID-19 nous a tous amenés (habitants de la planète) à modifier
plusieurs de nos comportements afin de nous accommoder aux nouvelles mesures restrictives de
prévention. C’est dans ce contexte qu’après avoir été professeur pendant environ un an et demi dans une
université de la République démocratique du Congo (RDC), nous nous sommes trouvé dans l’obligation
de quitter le pays, conformément au protocole d’urgence ayant régi notre fonctionnement en tant que
professionnel venu de l’étranger. Ce qui a instantanément mis fin à notre cours en mode présentiel.
Le cours en question s’intitule « Systèmes politiques comparés » et a été donné à une dizaine d’étudiants
de niveau licence (deuxième cycle universitaire) conformément à l’ancien système universitaire de la RDC
(M’Batika, 2015) qui est toujours en vigueur dans la plupart des universités.
Bien que ledit établissement d’enseignement supérieur ne dispose pas de structures numériques
adéquates à la réalisation de la formation à distance ou hybride, nous avons pu, en étant à l’extérieur du
pays, compléter le contenu programmé et finaliser le processus d’évaluation des étudiants. Autrement dit
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nous avons, par des procédés ci-après expliqués, reçu les travaux de recherche, réalisé l’examen final et
effectué la correction des copies. Toutefois, les lacunes liées aux outils et aux ressources numériques des
étudiants, de l’Universiet du pays en général nous ont beaucoup contrarié dans nos efforts en vue de
l’achèvement total du cours. Face à cette situation qui est différente de notre expérience de l’année
universitaire précédente, nous avons soulevé plusieurs interrogations, dont l’une des plus pertinentes est
ainsi stipulée : comment décrire et comprendre l’inégalité numérique qui caractérise l’évaluation à distance
des étudiants du cours « Systèmes politiques comparés » de l’Universilibre de Kinshasa pendant la
manifestation intense de la pandémie de COVID-19?
Pour répondre à cette question, dans le cadre de cette étude que nous qualifions d’ethnographique, nous
présentons un compte rendu d’observation qui a pour noyau un récit d’enquête que nous avons rédigé à
la suite de notre expérience en première personne, c’est-dire en tant que professeur, l’un des acteurs
du processus d’évaluation du cours. Le récit d’enquête nous permet de faire, un peu, le point sur les défis
du numérique dans l’enseignement supérieur du pays et à l’université concernée par l’étude, pendant la
crise sanitaire mondiale. Enfin, il y a la discussion des données qui est suivie de la conclusion et de nos
recommandations quant aux dispositions à prendre dans de pareil contexte futur.
Méthodologie
Étant donné que nous avions un statut de professeur à l’intérieur de cette université de l’Afrique centrale,
nous avions vécu en primeur et directement les différents défis relatifs à son fonctionnement, en particulier
l’inégalité numérique entre les étudiants auxquels notre enseignement a été consacré. C’est dans cette
logique que nous utilisons l’observation participante comme méthode de collectes de données de cette
étude ethnographique. À vrai dire, les données n’ont pas été recueillies dans le cadre d’un projet de
recherche bien défini à l’avance. C’est la raison pour laquelle nous optons pour le type de publication
« Discussions et débats ». Néanmoins, nous tenons à souligner que nous nous sommes souvent évertué
à tenir allumée notre torche de chercheur dans des situations socioéducatives préoccupantes, nécessitant
l’implémentation d’actions concrètes, ordonnées et durables. C’est ce qui a été le cas lors de notre
passage en RDC.
Compte rendu d’observation
Ce compte rendu d’observation comprend deux parties. La première est le récit d’enquête et la seconde
fait état de la discussion des données constituées dans le récit. En effet, à partir des informations que nous
avions colligées pendant le processus d’évaluation de nos deux années en qualité de professeur dans cet
établissement d’enseignement supérieur congolais, nous élaborons le récit d’enquête. Puis, nous
effectuons la discussion de ces données, autrement dit une analyse sociologique qui décrit et qui habilite
à comprendre, entre autres, que l’inégalité numérique constatée parmi les étudiants de cette université est
la fille des inégalités sociales observées dans tout le pays.
Récit d’enquête
Comme c’est le cas dans plusieurs pays en développement (Karsenti, Collin et Harper-Merrett, 2012;
Darius, 2021a), l’enseignement supérieur en République démocratique du Congo (RDC) est confronté à
de grandes difficultés, notamment dans le domaine du numérique. On ne peut pas ignorer que certaines
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universités du pays détiennent un service en ressources numériques. Toutefois, il est très limité. En effet,
le secteur éducatif de la RDC fait partie de ceux de l’espace francophone les acteurs ont moins d’accès
aux technologies de l’information et de la communication (Thibeault, 2014).
Dans cet établissement universitaire nous avons eu l’occasion d’enseigner, les problèmes structurels
et infrastructurels sont criants. Aucun service numérique n’est aménagé au profit des étudiants et des
professeurs qui s’y trouvent. Même ceux qui disposent de moyens technologiques personnels, comme
cela a été notre cas, n’arrivent pas toujours à s’en servir convenablement en classe, faute de la
discontinuité de l’énergie électrique et de la faiblesse de la bande passante dans la zone.
Dans un tel contexte d’enseignement et de grandes carences numériques, il se révèle compliqué pour les
professeurs de se documenter et de travailler adéquatement au moment opportun. En ce qui a trait aux
étudiants, outre l’impossibilité de consulter les bases de données scientifiques, d’effectuer des recherches
en ligne et de recevoir la documentation que leurs professeurs mettent à leur disposition électroniquement,
la précarité dans laquelle vivent certains d’entre eux constitue un sérieux frein à leur persévérance et à
leur réussite à l’université. En absence d’un bon ordinateur, d’une bonne tablette électronique ou d’un
téléphone intelligent, il s’avère vraiment problématique pour un étudiant de faire face aux exigences de
son programme et d’obtenir les rendements escomptés. Pourtant, ils sont nombreux les étudiants de
l’université en question qui se sont trouvés dans une telle situation.
L’un des constats les plus pertinents à noter, au terme de notre expérience en RDC, est l’inégalité
numérique entre les étudiants de notre cours. Nonobstant les défis infrastructurels que nous avons
évoqués plus haut, le manque de connectivité à titre d’exemple, plusieurs étudiants ont toujours été
relativement bien équipés numériquement dans la classe, contrairement à bien d’autres qui en ont été très
dépourvus. Il y en a qui n’ont même pas eu une adresse électronique pour communiquer avec les
professeurs et leurs camarades pour les besoins réguliers de documentation et de travail en équipe.
Après l’éclosion de la pandémie de COVID-19, nous avons pu, un tant soit peu, terminer le cours à
distance, vu que nous avons quitté le pays. C’est alors, particulièrement au cours de la finalisation du
processus d’évaluation, que nous nous sommes vraiment rendu compte de toute l’ampleur des contraintes
du numérique auxquelles sont confrontés les acteurs de l’enseignement supérieur en République
démocratique du Congo, surtout les étudiants de cette université de la ville de Kinshasa qui ont été les
bénéficiaires de notre cours.
Étant donné que l’universi n’avait pas les structures numériques pour nous permettre de réaliser la
dernière séance de notre cours avant la tenue de l’examen final, nous avons nous servir des moyens
du bord, notamment l’adresse électronique, l’appel et la messagerie WhatsApp pour établir le contact avec
les étudiants en leur transmettant des documents et des consignes. À cause des mesures de distanciation
sociale contre la pandémie de COVID-19, il nous a été impossible de planifier une rencontre en
visioconférence que les étudiants auraient pu suivre, au moins, dans une même salle (par l’intermédiaire
de Zoom, Skype, etc.). Vu qu’ils ne sont pas tous munis des moyens numériques nécessaires, cela n’a
pas été du tout facile de les atteindre tous, même séparément. Donc, il nous a fallu beaucoup de
délicatesse et de persévérance pour terminer le cours à distance.
En ce qui concerne le processus d’évaluation, il a été parti en un travail de recherche en groupe et un
examen final en classe. Étant donné que les étudiants n’ont pas pu se rencontrer pour travailler en
présentiel, ils auraient pu logiquement utiliser les technologies numériques pour réaliser les travaux en
équipe. Du fait qu’ils n’ont pas, tous, les moyens technologiques requis, plusieurs d’entre eux ont sollicité
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notre permission pour travailler individuellement. Certains de ceux qui sont dépourvus des moyens
numériques de base ont cherché de l’aide des proches ou d’autres collègues, en utilisant le compte
WhatsApp ou ladresse électronique de ces derniers, pour nous transmettre leurs travaux.
Au moment de procéder à l’examen final, après la fin du premier confinement obligatoire, environ six mois
après la fin des séances régulières du cours, nous avons pris attache avec un membre de la structure
administrative de notre faculté de tutelle pour la tenue en présentiel de l’épreuve sous sa surveillance.
Successivement, par le moyen de la messagerie WhatsApp, nous lui avons transmis le libellé de l’examen,
il nous a fait parvenir les copies numérisées pour correction et nous lui avons transmis en fin de compte
les notes finales.
Le processus d’évaluation a été finalisé dans un contexte d’urgence et de grande précarité numérique.
Plusieurs défis majeurs ont été retenus. Il s’agit, principalement, de la difficulté de lire les copies d’examen
mal numérisées (photographiées) et de l’impossibilité de vérifier à distance les références citées par les
étudiants en provenance de documents en version papier (qui ne sont pas en ligne), dont des revues, des
livres et des mémoires qui se trouvent dans la bibliothèque de l’université. Aussi, s’est-il révélé énigmatique
de vérifier et de documenter convenablement, dans cette circonstance, les soupçons de tricherie et de
plagiat.
Discussion des données d’observation
L’analyse du récit d’enquête constitué à partir de nos observations participantes, grâce à notre posture
d’ancien professeur au sein de l’université concernée par l’étude, révèle, d’abord, quelques angles morts
de l’évaluation à distance dans les contextes de grandes lacunes numériques en technologies
d’information et de la communication (TIC) en général. Mentionnons, par exemple, la détection de tricherie
et de plagiat. En deuxième lieu, notre observation nous éclaire par rapport à l’inégalité numérique qui
existe entre les étudiants du cours que nous avons eu l’occasion de dispenser; non seulement pendant la
période de la présentation des différentes séances, certains étudiants ont eu à leur disposition des
matériels numériques et l’Internet contrairement à d’autres, mais aussi et surtout durant la finalisation du
processus d’évaluation à distance les différences quant au fond et à la forme des textes à évaluer ont
clairement traduit l’inégalité numérique existant entre les étudiants. En effet, les étudiants les plus équipés
numériquement et ayant disposé d’un bon service Internet pendant nos deux années d’enseignement
universitaire en RDC sont généralement du nombre de ceux dont les travaux avaient une meilleure
présentation typographique et linguistique cause, entre autres, de l’utilisation des logiciels de correction)
et une documentation de meilleure qualité.
Par ailleurs, les mesures sanitaires instituées contre la pandémie, comme le confinement et la distanciation
sociale, ont provoqué une diminution de la solidarité numérique habituelle entre les étudiants. C’est l’une
des raisons pour laquelle plusieurs travaux de recherche en équipe ont été transformés en devoirs
individuels. La notion de solidarité numérique, dans le cadre de cet article, renvoie à l’idée de partage et
d’entraide de certains étudiants qui ont mis leurs connaissances et moyens numériques au service de
leurs camarades.
Il convient aussi de souligner, dans ce même souffle, certains cas d’abandon de quelques étudiants du
travail en équipe. Ce qui serait une conséquence directe, à en croire leurs camarades, de leur impossibilité
de travailler en présentiel ou à distance avec les autres membres du groupe, soit à cause des mesures
anti-COVID-19 ou à cause de leur précari numérique. En d’autres termes, la privation des moyens
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comme un bon ordinateur et l’Internet pour effectuer des recherches en ligne et réaliser, du même coup,
la partie des devoirs en groupe qui leur a été confiée est un facteur de l’abandon et de l’échec de plusieurs
étudiants suivant le témoignage de leurs collègues de l’Université libre de Kinshasa.
L’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans le secteur éducatif
africain, depuis plusieurs années, est l’expression d’une vision de démocratisation de l’éducation, c’est-à-
dire une volonté de permettre à plus de gens possible d’y avoir accès. Néanmoins, cette démocratisation
augmenterait les inégalités déjà existantes entre les nations. Les différences de développement entre les
pays du continent, la mauvaise planification des politiques publiques, notamment économiques et
éducatives, doivent être, selon Coulibaly (2019), mises en évidence dans les explications relatives à la
contre-performance des TIC dans les systèmes éducatifs de l’Afrique.
Conclusions, recommandations et perspectives de
recherches futures
Ce travail est pour nous une occasion de mettre en exergue la précarité numérique qui dépeint le contexte
de l’enseignement supérieur d’un pays en développement, la République démocratique du Congo,
pendant la période de COVID-19. L’évaluation à distance d’un cours dans une université de ce vaste pays
de l’Afrique centrale, qui offre des programmes en mode présentiel et qui n’a pas de structures pour la
formation à distance ou hybride, se révèle très complexe.
Au regard des facteurs susmentionnés, il savère problématique de détecter, dans les travaux de recherche
et dans les examens à distance des étudiants, les fraudes intellectuelles ou scientifiques, comme la
tricherie et le plagiat, particulièrement dans les cas de références non accessibles en ligne. En
conséquence, dans de pareilles circonstances, nous suggérons que l’élaboration des libellés de travaux
en équipe et d’examens tienne davantage compte de la compréhension et du sens critique des étudiants
concernés.
Les défis du numérique constatés dans l’enseignement supérieur dans cette universicongolaise, dans
le contexte des mesures d’urgence liées à la pandémie de COVID-19, correspondent aux faiblesses
observées dans l’enseignement supérieur d’autres pays en développement (Lafleur et Ghislain, 2021;
Darius, 2021b). Il en est de même pour l’inégalité numérique qui sévit au milieu des étudiants de notre
université d’expérimentation. Les étudiants qui sont dépourvus de moyens numériques en RDC font partie
de la masse défavorisée du pays. Ce qui nous permet de formuler l’hypothèse suivante : la précarité et
l’inégalité numériques qui caractérisent l’enseignement supérieur en République démocratique du Congo
représentent un échantillon des défis que rencontrent le pays et bien d’autres nations en développement.
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